Pour sa troisième année, Valentine a choisi de faire son séjour d’études à l’étranger au Chili. Elle nous parle de son expérience.
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Valentine, j’ai 19 ans et je suis en troisième année de Licence Humanités parcours Science Politique, en spécialité Histoire. Pour mon semestre à l’étranger j’ai choisi d’aller au Chili.
Que faites-vous au Chili ?
Depuis fin juillet, je suis différents cours en espagnol et en anglais dans une université partenaire. Ces cours s’inscrivent dans la filière du journalisme et de l’histoire.
Dans le cadre de nos cours de journalisme, j’ai le plaisir de réaliser un podcast sur l’économie chilienne.
Qu’est-ce qui vous a amené à choisir cette destination ?
J’ai choisi d’aller au Chili d’abord parce que c’est un pays en Amérique du Sud. J’ai habité pendant onze ans en Guyane et je voulais me rapprocher de cette région où j’ai grandi. Ensuite, le Chili est un pays particulier, il est très long et ses régions sont extrêmement différentes en termes de paysages. Le Chili est un pays propice au voyage et à la découverte de régions magnifiques et diverses comme la Patagonie et ses montagnes ou le désert d’Atacama.
De plus, l’université partenaire propose un programme d’intégration, ce qui nous permet de rencontrer des amis étrangers comme chiliens et de se sentir accompagné au Chili. En effet, les filles qui étaient en échange dans cette université l’année dernière nous ont vanté l’importance d’une bonne intégration. Et en étant aujourd’hui au Chili, je suis contente car grâce à cette période, j’ai pu apprendre les coutumes et mœurs du pays pour ne pas faire d’erreurs, mais aussi du vocabulaire spécifique. Pour finir, j’ai aussi pu rencontrer beaucoup d’autre étudiants étrangers et chiliens.
Qu’appréciez-vous dans votre parcours à l’Ircom ?
Ce que j’ai beaucoup apprécié à l’Ircom, c’est l’accompagnement donné par les permanents et notamment le fait qu’ils soient à l’écoute.
D’autre part, un aspect que j’ai beaucoup aimé est la taille humaine de l’Ircom et des promotions. Celles-ci sont de petites tailles (environ 60 personnes). On se connaît, ce qui permet d’instaurer un climat familial.
Un mot de la fin ?
Le semestre à l’étranger est une expérience particulière. Si un jour on m’avait dit qu’à 20 ans je serais au bout du monde à marcher 3 jours dans la montagne avec des gens que je ne connais que depuis 2 mois, je n’y aurais pas cru.
